Le Growth Hacking vient des mots « croissance » et « pirater » ce qui signifie donc « pirater la croissance » en fait ce terme se définie simplement par un ensemble de techniques de marketing qui permet d’accélérer rapidement la croissance d’une start up, d’augmenter drastiquement la courbe de croissance du chiffre d’affaire, de ramener des nouveaux prospects sur le site web et de les faire revenir par la suite. On emploie dans ce terme de mot « hacking » pour mettre l’accent sur le fait que le growth hacker va mettre en place des moyens « non-conformistes » pour réaliser tous ces objectifs.

Le concept a été inventé aux Etats-Unis par Sean Ellis en 2010 et est utilisé par plusieurs entreprises innovantes telles que Airbnb, Facebook, Instagram, Pinterest, Twitter, Youtube, Dropbox, Linkedin etc.

Le Growth Hacking est un nouveau processus pour acquérir et fidéliser les consommateurs.

Ainsi, le growth hacker pour connecter le public-cible avec le produit / service, doit optimiser au maximum les metrics AARRR : acquisition, activation, retention, referral et revenu
C’est un diagnostic qui va permettre de trouver les bonnes pistes pour augmenter la croissance de sa start-up.

Acquisition :
Il doit déterminer le canal qui offre la plus grosse croissance pour sa start-up, et trouver comment faire venir les prospects sers le site.

Activation :
Une fois le prospect sur la page, il doit s’intéresser au site et réaliser sa première action.

Retention :
Il faut faire en sorte que le prospect revienne sur la page grâce à des newsletter, offres spéciales …

Revenue :
Le prospect devient alors client il apporte du revenu à la start up

Referral :
Le client devient prescripteur, il parle de la start up, et devient ambassadeur de la marque.

Ces stratégies ont pour particularité d’être gratuite ou presque, elles sont donc très utilisées par les start-up qui pour la plupart ont des ressources limitées et sont dans l’impossibilité d’investir dans des stratégies onéreuses et qui très souvent cherche à faire augmenter leur nombre d’utilisateurs grâce à ces techniques très peu chers.

Exemples de Growth Hack qui ont très bien fonctionné :

– Twitter : Les suggestions de personnes à suivre dès l’inscription sur le réseau social.

– Pour faire connaître son service Hotmail avait ajouté à la fin de tous les mails envoyés par ses utilisateurs un « PS : I Love You. Get Your Free Email at Hotmail »

Enfin si vous souhaitez vous même mettre en place des techniques de growth hacking je vous propose de lire notre deuxième article sur le sujet qui est «Des idées de growth hacking ».

Camille Mendez Etudiante école de communication ISCOM Lyon